nom(s) ✤ Hawkins prénom(s) ✤ Mael âge ✤ 36 ans date et lieu de naissance ✤ Le 26 juillet, à Minneapolis (bon, en réalité, c'était plutôt sur l'autoroute pour aller à Minneapolis) profession/études ✤ Chasseur de prime statut civil ✤ Célibataire orientation sexuelle ✤ Hétérosexuel traits de caractère ✤ Sarcastique, déterminé, pessimiste, bagarreur, discret, protecteur, lunatique. groupe ✤ Dunno don't care crédits ✤ Tumblr

Mael déteste son prénom, il l'a toujours détesté et le détestera toujours, pour lui, ça marchait bien quand il était gamin, mais à 36 ans et avec une tronche de dealer, ça fait moins crédible tout de suite. Voilà pourquoi il préfère qu'on l'appel par son nom de famille. - Il sourit rarement, et parle très peu, en fait, quand il ouvre la bouche c'est surtout pour lancer des remarques sanglantes ou particulièrement déplacées. - Il n'a jamais éprouvé aucun remords quand il mettait une balle entre les deux yeux de ces contrats. - Il avait une sœur plus jeune de 9 ans, jusqu'à ce qu'elle disparaisse quand elle eut 13 ans, après des années de recherches sans résultats, elle a été déclarée morte par les autorités. - Depuis, Mael est devenu particulièrement froid et distant avec les gens, famille ou pas. - Il n'a pas réellement d'amis et ça ne le dérange pas le moins du monde. - Il accepte tout type de contrat, hommes, comme femmes. Certains lui sont proposés par la police, mais la plupart, il les trouve tout seul. - Il n'est pas un grand dragueur, de toute façon, c'est pas comme si il avait vraiment le temps de s'occuper d'une femme, mais il ne dit pas non à quelques jours de break dans les bras d'une belle créature féminine. - Comment il est devenu chasseur de prime ? Bah quand on a un papa qui baigne déjà dans le métier, ça résume vite votre vie. - Mael à perdu sa mère quand il avait 23 ans, elle n'a pas supporté la disparition de sa fille. - Il déteste en parler, mais Mael est atteint de diabète, voilà pourquoi il a toujours de l'insuline sur lui. - Au fond, il crois toujours que sa sœur est vivante, il est persuadé qu'il la retrouvera un jour. - Il fait beaucoup de sport, notamment du jogging et des sports de combat, et ça, tout les jours. - Il fréquente souvent les bars, il aime bien y aller, regarder les gens. Il ne parle pas toujours aux autres, mais c'est juste le principe de sortir.

La journée fut dure, mais alors, vraiment dure. Mais qu'est-ce qu'il lui a pris de commencer des études d'architecture ? Ah oui, maman y tenait. En attendant, il allait devoir trouver un moyen de lui dire qu'il voulait tout arrêter, sinon, il allait devenir fou là-dedans. Il n'y a rien de pire que de passer ces journées assit sur une chaise, à écouter un prof vous débiter des choses qui, certes ont un certain intérêt, mais qui ne vous intéresse pas le moins du monde. Il préférerait mieux tondre la pelouse de monsieur Hemingway, ou repeindre le salon de madame Campbell.
Soupirant bruyamment, Mael monta dans sa voiture et prit la direction de la maison familiale. Du haut de ses 22 ans, on ne peut pas dire que le garçon soit vraiment bien partit dans la vie. Il a commencé un bon nombre d'études différentes, histoire d'échapper à son destin, enfin, à celui que son père voulait lui donner. Après tout, ce n'est pas parce que papa est chasseur de prime que lui doit l'être aussi, non ? Mais bon, il commençait à se dire que finalement, son père n'avait pas tort, son fameux discours commençait à prendre un réalisme assez troublant. Il pourrait le répéter des centaines de fois, parce que depuis ses 15 ans, il n'entend que ça. Tu sais mon fils, ce genre de chose, c'est dans le sang des hommes de la famille. Tu auras beau essayer de te changer, tu n'échappera pas à ton destin. Il y aurait presque une dimension poétique en y réfléchissant bien. Pour ça, son père était plutôt doué.
Mael gara sa voiture en face de la maison. Mais c'est surtout la présence d'une voiture de police qui le surprit. Qu'est-ce qu'il ce passait chez lui ? Ça ne pouvait pas être en rapport avec le travail de son père, à chaque fois que les flics le mettait sur une piste, il le convoquait au poste, jamais à domicile. Attrapant rapidement son sac à dos, Mael se précipita dans la maison. Il ouvrit la porte du salon et trois visages se tournèrent vers lui, sa mère, son père et l'agent de police. Il léger silence prit place, il venait d'interrompre quelque chose que, visiblement, ses parents ne voulaient pas lui diren du moins, pas tout de suite. Sa mère avait l'air paniquée, ne sachant plus comment gérer la situation. « Mael... tu ne devais pas rentrer avant au moins 1 heure... » Le jeune homme les regarda tour à tour, sourcils froncés. « J'ai fini plus tôt.. Je peux savoir ce qu'il ce passe ici ? » Une nouvelle fois, le silence prit place. Son père s'écarta de sa mère qui fondit en larme. Mael posa son sac à côté du meuble de l'entrée, il était soudainement inquiet, surtout quand son père posa sa main sur son épaule. La dernière fois qu'il lui a montré un signe d'affection, c'était pour lui annoncer la mort de sa grand-mère, quand il avait 8 ans, il ne mit donc pas longtemps à comprendre que quelque chose de grave était arrivé. « Papa, qu'est-ce qu'il ce passe bordel ? » Son père le regarda droit dans les yeux, ça, c'était plutôt mauvais signe aussi. « Mael, ta... ta sœur à disparue. Elle est allée dormir chez sa copine hier, depuis, personne n'a de nouvelles. Son amie pensait qu'elle ne venait pas, et qu'elle avait oubliée de la prévenir, elle s'est inquiétée ce matin quand elle ne l'a pas vu à l'école, et c'est quand elle lui a emmener les devoirs qu'on a comprit que ta sœur n'était plus là. » Encore une fois, ce silence, ce foutu silence de mort. Mael garda les yeux fixés dans ceux de son père, pour la première fois de sa vie, il le voyait démuni, perdu. Il risqua un regard vers sa mère, toujours en pleurs et le flic qui était présent, droit comme un 'i' et gribouillant sur son petit calepin noir. « Comment ça à pu arriver ? C'est une gamine de 13 ans, qui l'a laissée aller seule là-bas ? Ça n'aurait pas dû arriver ! Si vous m'aviez appeler, je l'aurais emmenée ! Putain ! » Mael ponctua son insulte d'un immense coup de pied dans le meuble de l'entrée. Personne n'a encore osé toucher les Hawkins, notamment à cause de la réputation de papa, mais finalement, ça se sera retourné contre eux, et Sofia en aura fait les frais. « Ça, c'est à cause de ton putain de job ! T'aurais jamais dû avoir une famille avec un boulot pareil, en fait, t'es qu'un bâtard égoïste. » « Calme toi Mael, rien ne tout ça n'est justifié, tu ne sais pas ce qu'il s'est passé, ne tire pas de conclusions prématurées. » « Mes conclusions ne sont pas prématurées. »
Et plus le temps passait, plus Mael se disait qu'il avait raison. Personne ne trouvait une seule petite trace de sa sœur, lui aussi avait commençait des recherches de son côté, sans grand succès non plus. Il avait abandonné études et boulot pour faire ce que son père avait toujours voulu, chasseur de prime, en espérant un jour tomber sur sa sœur. La seule différence, c'est que lui ne compte pas avoir de famille. Si c'est pour la voir détruite 10 ans après, il n'y a aucun intérêt à donner la vie.





Mael avait tout vérifié encore une fois avant de partir, que tout soit bon. Les chargeurs sont à leur place, le flingue parfaitement nettoyé, le gilet par balle correctement fixé. A chaque fois, c'était le même rituel, il était hors de question de partir travailler sans être préparé à toute éventualité. Après des semaines de travail, Mael à finalement réussi à repérer l'homme qu'il recherche. Celui-là était une offre de la police, et Mael avait sauté sur l'occasion, faut dire que la prime n'était pas à négliger.
L'homme chargea ses affaires dans son 4x4 avant de prendre la direction du lieu où il avait repéré son contrat. Il était là, tout beau, tout chaud, il n'attendait que lui. Mael savait déjà comment il allait procéder : il entrerait, et lui mettrait une bonne raclée ; la suite allait dépendre du comportement du monsieur, soit il restait sur le tapis et il finirait au poste de police en vie, soit il serait coriace, et là, il se prendrait une balle entre les deux yeux. Mael n'y allait pas par quatre chemins, et il n'avait surtout pas envie de perdre du temps avec un type comme celui qu'il allait chercher. D'ailleurs, celui-là, il aimerait bien l'abattre sans même lui donner une chance de s'en sortir en vie, les prisons sont bien trop confortables pour des gens comme lui. Un violeur et tueur récidiviste. Jusqu'à présent, il a toujours réussi à s'enfuir avant que les flics ne le choppe, et faut dire que l'affaire Caïn les préoccupe pas mal. Il a violé et tué 7 jeunes femmes entre 15 et 26 ans. Rien que le fait de penser à cet enfoiré lui donnait des envies de meurtre. Oui, il ferait ça, il le tuerait, il ne méritait que ça. Les chasseurs de prime de sont pas supposés faire justice eux-mêmes, mais Mael ne se gêne pas sur ce point, et beaucoup le savent.
Quelques minutes plus tard, Mael arrêta sa voiture devant un immeuble des mauvais quartiers de Minneapolis. Il prit le nécessaire, en l'occurrence, son fusil à pompe fétiche. D'un pas décidé, Mael grimpa les escaliers jusqu'à s'arrêter devant la porte du 3ème palier, c'était son appartement, et vu la musique qu'il y avait à l'intérieur, il devait être là. Le chasseur de prime chercha dans sa poche de quoi crocheter la serrure, il en avait toujours sur lui. Au bout de quelques secondes, il pénétra dans l'appartement, aussi discrètement que possible. Il l'entendait ce salopard, il était dans la chambre, et apparemment avec une femme, l'une de ses victimes ?
Mael n'attendit pas plus longtemps, il épaula son fusil et ouvrit la porte de la chambre brusquement. « Tu bouges mon con, t'es mort. » Clair, net, précis. Hawkins jeta un rapide coup d'oeil à la jeune femme présente dans la pièce, vu l'état dans lequel elle était, il l'avait enlever celle-là aussi. « Il t'as kidnappée ? » Elle lui adressa simplement un signe de tête, un signe affirmatif, pas bon pour lui. Hawkins attrapa une couverture qu'il lui lança. « Vas dans la pièce à côté. » Il ne voulait pas qu'elle voit ça, elle était déjà bien assez traumatisée. La jeune femme l'écouta, et Mael referma la porte derrière elle. L'autre était là, en face de lui, les deux mains en l'air. « Pitié ! Tirez pas, c'est bon, tirez pas. » Mael laissa échapper un léger ricanement. « J'aurais pu me contenter de ça, mais, ce que t'as fais, c'est pas pardonnable. Et je ne te donnerais pas la satisfaction de dormir tranquillement dans un lit de prison alors que tu as tué 7 femmes innocentes. » Hawkins parlait rarement autant, la preuve que vraiment, il était très, très énervé. Mael se rapprocha de lui, écoutant à peine les plaintes de l'autre salaud en face de lui. Il lui planta le canon de son fusil dans la bouche, enfin, ses mots n'étaient plus compréhensibles, seulement des sons s'échappaient de sa bouche. « Avec un flingue dans la bouche, on ne prononce que les voyelles, connard. » Ce fut les derniers mots qu'il entendit. L'explosion de son crâne juste après ne lui aura pas permis de percevoir la détonation du fusil. Les murs blancs se teintèrent de rouge, et de bout de cervelle, accessoirement. Hawkins se recula, et s'essuya le visage. Il posa un drap sur l'endroit où était la tête de l'homme, non pas pour respect pour lui, mais surtout pour limiter la vision d'horreur, au cas où la jeune femme à côté voyait quelque chose. Mael se dirigea dans la pièce où elle l'attendait, elle tremblait comme une feuille. Il se rapprocha et s'assit près d'elle, elle ne le quittait pas du regard. « Vous êtes qui ? » « Je m'appelle Mael, je suis chasseur de prime. » Évidemment, elle évita tout contact physique, elle en avant clairement assez, pauvre fille. « Moi c'est Alexys... Merci Mael. » Hawkins se contenta de lui adresser un léger sourire. Il attrapa son téléphone et composa le numéro de son ami flic, celui qui gère tout ce qui est récupération des victimes des chasseurs de primes. « Hawkins ? » « Il est raide. » « Me dis pas que tu lui a encore explosé le crâne ? » « Si. Tu te servira de ses empreintes pour l'identification. » « Faut que t'arrêtes avec ce fusil à pompe. » « On verra quand les criminels deviendrons aimables et gentils. » Mael raccrocha, et se leva du canapé. Il regarda encore une fois Alexys, elle devait avoir l'âge de sa sœur maintenant, il se demandait d'ailleurs où elle était passée. « Les flics vont arriver. Ils vous prendrons en charge. » Elle hocha la tête affirmativement. Mael se dirigea vers la porte de l'appartement, il ira chercher sa prime le lendemain matin. Il y croisa d'ailleurs Alexys, qui le remercie une seconde fois.

pseudo/prénom ✤ Minimoys âge ✤ 18 ans où avez-vous connu le forum ? ✤Oui, toujours Skye vous le trouvez comment ? ✤ Je pourrais répéter encore une fois qu'il est ignoble, mais je vais changer, c'est un pur chef d'oeuvre  un dernier commentaire ✤