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billie ~ reality is not easy to run from

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billie ~ reality is not easy to run from Vide
MessageSujet: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 11:16



moriarty billie.
sometimes when i close my eyes, i pretend i'm alright but it's never enough cause my echo is the only voice coming back. my shadow is the only friend that i have.  ❞

nom(s) ✤ moriarty. prénom(s) ✤ billie, charlotte. âge ✤ 22 ans. date et lieu de naissance ✤ le 3 juin à los angeles.  profession/études ✤ employée dans un fast food pour s'assurer un salaire. Elle se passionne également pour l'art et bosse d'ailleurs sur une bd peu connue dont le premier tome vient d'être publié en quelques exemplaires pour démarrer. Celle-ci porte sur un tueur en série ressemblant étrangement à un psychopathe bien réel statut civil ✤ célibataire. orientation sexuelle ✤ hétéro. traits de caractère ✤ froide - provocatrice - explosive - sarcastique - possessive - moqueuse - impulsive - directe - inconsciente - de mauvaise foi - manipulatrice - secrète - généreuse avec ceux qu'elle aime - fêtarde - bornée - amusante - cassante - franche - grande gueule - chieuse - débrouillarde. groupe ✤ we have unfinished business. crédits ✤ tumblr.


+ the littlest things that take me there.

Elle est du genre à enchaîner les petits boulots. Avec son caractère et sa répartie plutôt directe, il lui est parfois difficile de se retenir de répondre à des clients. Pour cette raison, c’est la pro de la démission comme du licenciement – Mauvaise perdante ou plutôt bonne gagnante, elle ne joue pas pour le plaisir. Elle est particulièrement fière de savoir tricher avec talent – Particulièrement proche de sa grande sœur Jules, elle ne jurait pratiquement que par elle quand elle était petite, c’était un peu son héros sans la cape – Elle connaît une relation typiquement père-fille avec son père, entre taquineries, proximité, disputes et parfois bouderies, bien que ce dernier ne puisse prétendre au diplôme du père de l’année, tout particulièrement dans le chapitre « présence » - Bille s’est toujours passionnée pour l’art. De la décoration des murs de sa chambre d’enfant, à l’obtention de son premier appareil photo qui passe rapidement après tout instrument pour peintures ou dessins – Elle a rapidement abandonné l’idée de faire des études, au moins aussi inutiles que chiantes selon elle, et n’a jamais cédé à l’appel de l’inscription dans une faculté – Bien qu’elle soit inséparable de sa grande sœur, elle est restée à Los Angeles quand celle-ci est partie pour Minneapolis. Ce qui ne les a pas empêché de s’appeler le plus souvent possible et de se voir quand Jules revenait – Quand Jules est partie pour Minneapolis, Billie s’est occupée pendant quelques temps de sa nièce Leah – Pas spécialement pro dans les longues relations, elle ne s’attache pas facilement et se livre avec tout autant de difficulté. Ce qui ne l’a pas empêché de faire un mauvais choix dans sa seule et unique histoire sérieuse – S’il y a une chose à savoir sur Billie, c’est qu’elle a toujours raison même quand elle a tort. Elle est passée maître dans l’art de la bonne excuse à fournir ou de la déformation de la réalité à son avantage – Parce qu’elle ne pleure pas facilement, même jamais, on pourrait la prendre pour une personne forte. En réalité Billie est plus fragile qu’elle ne veut bien le montrer. Handicapée quand il s’agit d’exprimer ses sentiments, de dire ce qu’elle ressent, elle est tout autant renfermée et ne laisse rien paraître. Elle possède la faculté débile de s’enfermer dans un cocon, ce qu’elle a fait à la mort de sa mère – Depuis peu, elle travaille sur une bd dont le premier tome vient d’être publié en quelques exemplaires. L’histoire porte sur un tueur en série dont les meurtres ressemblent curieusement à ceux de Blacknight et dont les victimes présentent plusieurs similitudes avec la réalité. Ça n’a bien évidemment rien d’une coïncidence et Billie a fait et continue de faire des recherches. Elle est publiée sous le pseudonyme de Sasha Morgan – Son art pourrait être qualifié de plutôt sombre, il faut dire que sa vie a fait que les « petits poneys et arc-en-ciel » sont rapidement devenus ridicules à dépeindre – Certains diront de Billie qu’elle possède un genre de pouvoir pour s’attirer des ennuis. D’autres qu’elle les cherche tout simplement. Le reste ira jusqu’à dire qu’elle est plutôt suicidaire. Il est vrai que l’inconscience fait partie de ses plus gros défauts et elle répond, quand on lui fait remarquer, avec un autre du top 5, la provocation, qu’on s’occupe comme on peut.


+ you've cast a spell on me.

pseudo/prénom ✤ p’tit biscuit. âge ✤ 27 ans. où avez-vous connu le forum ? ✤ par le représentant officiel de panzani. vous le trouvez comment ? ✤ so hot on the coconut tree, quand il veut je l’épouse <3.  un dernier commentaire ✤ plus tard, quand je serai grande, je deviendrai chanteuse tyrolienne.



Dernière édition par Billie Moriarty le Mar 6 Aoû - 13:39, édité 14 fois
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 11:17

+ up on melancholy hill.



I. HERO OF THE YEAR


    « Hum... il me semble qu'une certaine jeune fille devrait déjà être au lit » Qui donc ? Voilà la réplique qu'on pouvait lire dans les yeux d'une brunette visiblement pas assez haute pour attraper l'objet de sa convoitise posé sur une étagère. Depuis une bonne dizaine de minutes, Billie Moriarty était en guerre. Oui, en guerre. Si pour les grandes personnes il était nécessaire d'avoir des soucis, un conflit super méga important au point qu'on était incapable d'y comprendre quelque chose et une bonne grosse dose d'argent, il en fallait bien peu à une enfant de 5 ans pour nouer un bandana autour de son front et se faire des peintures de guerre avec le maquillage de sa mère.
    Il suffisait d'une boîte de feutres rangée sur une étagère et d'un ennemi mortel : sa petite taille. L'arrivée d'un intrus, que nous nommerons père, dans sa chambre n'avait rien changé à la partie. Toujours occupée à se grandir pour tenter d'atteindre la boîte qui contenait la magie des couleurs qui manquait à son dessin, la remarque sur sa désobéissance était tombée dans l'oreille d'un sourd. Un simple questionnement lui avait traversé l'esprit l'espace d'une seconde : comment donc son père avait-il fait pour l'entendre ?
    Etait-ce quand elle avait entreprit de faire tomber la boîte avec une balle de tennis qui n'était parvenu qu'à faire tomber sa lampe Snoopy ? Ou bien était-ce son super lasso corde à sauter qui avait alerté la cavalerie lorsqu'il s'était retrouvé à anéantir sa pyramide de cubes si durement construite au cours de l'après-midi ? Elle avait pourtant fait preuve de la plus grande discrétion ! Et voilà que désormais la boîte s'envolait vers des cieux plus élevés, soit dans la main de son père.

    « Je parle de vous Billie Charlotte Moriarty. » D'elle ? Poussant le culot jusqu'à se retourner pour voir si une autre Billie Charlotte Moriarty se trouvait derrière elle, elle avait arraché un sourire amusé à son père, sourire rapidement chassé par une tête secouée dans le but de retrouver tout sérieux. « Est-ce que c'est une heure pour dessiner ? », air de réflexion profonde, quelques secondes pour chercher la réponse correcte et l'enfant dans son pyjama représentant des chats retrouvait enfin l'usage de la parole. « Mais t'as dis l'autre jour qu'il n'y avait pas d'heures pour terminer ce que l'on commence correctement ! » Astucieux au point d'arracher un nouveau sourire à son père mais pas assez pour qu'il ne porte pas sa fille sur son épaule. « Oui, et je crois me souvenir que je parlais d'une chambre à ranger. Vu ta bataille de ce soir, je crois que tu vas devoir recommencer demain ! ».
    Trop injuste ! Au moins n'avait-elle pas besoin de le dire tellement son expression était traduisible. Posée dans le lit puis bordée, sa quête semblait condamnée à se jouer demain. Dans un soupir, Billie avait croisé les bras, boudeuse de perdre si rapidement face à son père. Un baiser sur son front, un « ébouriffage » de cheveux dans les règles lui avaient définitivement perdre la partie. Incapable de faire la tête à son « père préféré» comme elle l'appelait parfois, elle lui avait sourit avant de poser la question trop souvent répétée entre ces murs. « Tu repars quand ? ».

    Sa réponse n'était jamais la bonne, et le « demain » qui était tombé n'était clairement pas ce qu'elle espérait. A 5 ans, Billie avait déjà compris que d'autres enfants avaient le droit de voir plus souvent leur père. Envieuse, elle rêvait parfois d'un père qui n'était pas « obligé » de partir. Mais, quand elle boudait trop, quand elle râlait trop, on lui expliquait que c'était des histoires qu'elle comprendrait en grandissant. « Je suis toujours ton héros préféré ? ». Incapable de résister au sourire de charmeur de son père, l'enfant avait hoché la tête « Alors va te coucher ! Tu dois être en forme demain matin si tu veux vaincre l'assiette géante de gaufres d'un super héros ! ». C'était toujours ou presque ce qu'il cuisinait le jour où il devait retourner travailler quand il ne partait pas avant l'aube.« Et si jamais tu as besoin de moi quand je ne suis pas là, tu te souviens ? Tu n'as qu'à siffler ». Vivement, Billie avait secoué la tête « J'ai plus besoin, Jules c'est mon héros ! Elle peut botter les fesses de n'importe qui ! ». Des mots prononcés avec conviction et fierté, sans méchanceté, mais quel père ne ressentait pas un peu le goût de la culpabilité quand il découvrait qu'il n'était pas indispensable et que sa fille aînée lui avait volé la vedette ? Mais savoir qu'ils avaient élevé deux filles qui s'entendaient si bien, c'était aussi une grande fierté.
    Après une rapide morale sur le langage correcte pour une jeune fille, un deuxième bonne nuit dans les règles, la lumière s'était éteinte sur la chambre d'une enfant qui rêverait dans quelques secondes à « botter les fesses » d'un certain Stanley, tireur de cheveux.




II. ALL THAT REMAINS ARE MEMORIES


    « Tu crois pas que ce dessin serait plus joli avec un peu plus de couleurs ? ». Redressant la tête de sa feuille dans un sursaut, Billie avait posé les yeux sur sa mère qui venait de rentrer sans faire de bruits, sa mallette à la main. A en juger par ses traits fatigués, Madame Moriarty devait s’occuper d’une affaire difficile, voir stressante. Mais, à chaque fois qu’elle retrouvait la maison familiale, elle tâchait toujours de redevenir une simple maman qui épiait sa fille plus discrètement qu’un super espion. Dans un soupir, la lycéenne avait retrouvé un rythme cardiaque plus régulier avant de baisser les yeux vers le panel de couleurs à sa disposition « Tu sais, j’ai passé l’âge de dessiner des petits poneys ! ». Le soupir déçu qu’avait poussé sa mère pouvait aisément se traduire par un regret devant un temps qui passe trop vite. Ce regret que chaque parent avait dans une vie était sans doute plus fort pour une bosseuse comme elle. « Et pourquoi pas un arc-en-ciel alors ? », si Billie avait secoué la tête, un sourire n’en n’était pas moins passé sur ses lèvres devant le sourire taquin d’une mère face à l’adolescence. Résolue cependant à ne pas pousser l’embêtement à la guerre de « je ne suis plus enfant », elle avait porté son attention sur le frigo avant d’étaler quelques articles sur la table de la cuisine que sa fille cadette monopolisait déjà avec son matériel. C’est tout en tartinant deux tranches de pain de mie de beurre de cacahuète qu’elle avait reprit la conversation « Tu vois toujours ce Joshua ? ». Ce sujet de conversation n’était pas que pour les pères, seul le ton changeait, tout comme le ton de Billie qui s’était contentée d’une tête secouée « Tant mieux, ton père était déjà prêt à sortir les armes quand je lui en ai parlé au téléphone. Mieux vaut que tu termines au couvent et que tu sauves la vie de ce pauvre garçon ! ». De l’exagération ? Ce n’était pas certain que ce soit une blague connaissant Mister G.I. Moriarty. Et on pouvait supposer, sans se tromper, qu’une Billie était un personnage sadique à en juger par sa réplique suivante « Je préfère sortir avec un junkie ou un ex-taulard. L’orange, c’est LA couleur de l’année ! ».
    A l’air désapprobateur de sa mère, il était facile d’en arriver à la supposition que faire sa blague à son père n’était pas l’idée du siècle. Après avoir refermé son sandwich, sa mère s’était rapprochée pour essuyer une trace de peinture de la joue de sa cadette « Je dois y retourner mais garde ce genre de blagues pour une autre personne que ton père. ». Les sourcils levés, Billie n’avait pas l’air d’approuver. Pourquoi les meilleures plaisanteries devaient-elles être interdites ?
    « Tu rentres quand ? ». Madame Moriarty avait relâché le visage de sa fille, une expression étonnée sur le visage « Mais enfin Billie, tu sais bien que je suis morte ! »


    Brutalement, Billie avait ouvert les yeux sur le plafond d’une chambre plongée dans l’obscurité.
    Dans la maison des Moriarty, le silence se faisait écho. L’heure avancée de la nuit n’y était pour rien. Depuis plusieurs mois, les bruits familiers de son enfance avaient disparu. Et si le silence se taisait parfois pour une énième dispute de Jules et de son père, s’il se taisait parfois pour laisser Billie parler comme si rien de tout ça n’existait à sa sœur, il semblait avoir pris le pouvoir.
    Se redressant sur son lit, la brune avait tourné les yeux vers son réveil. Une nouvelle journée n’était plus très loin. Une journée de routine qui ne ressemblerait en rien à celles du passé. Si tout semblait différent maintenant, elle préfèrait ne pas l’admettre, ou au moins ne pas l’évoquer. Ne pas en parler, une question de survie pour elle, une question de problème psychologique pour la conseillère de son lycée qui la recevrait encore aujourd’hui. Une vraie plaie ! Qu’elle l’interne et lui fiche la paix !
    Pourquoi tout le monde voulait la voir parler ouvertement du meurtre de sa mère ? Pourquoi les gens étaient idiots et ne trouvaient rien de mieux à faire que de dévisager deux sœurs qui se retrouvaient sans mère ? Et pourquoi personne n’avait pensé à regarder dans le dictionnaire pour y trouver le sens du mot « tranquillité ».
    Tout allait parfaitement bien… elle se portait à merveille… ouais… comme un charme.

    Quittant son lit, Billie avait emprunté ce chemin qu’elle prenait si souvent quand le sommeil lui faisait défaut. Dans le noir, elle avait fait les pas qui la séparaient de la seule personne qui trouvait grâce à ses yeux. Doucement, elle avait poussé la porte de son aînée. Elle était restée quelques secondes sur le pas de la porte à regarder l’ombre de sa sœur dans son lit. Elle allait bien… Jules était là… Jules la comprenait sans avoir besoin de l’assommer d’une analyse de psy digne d’un bouquin pourri acheté dans une bibliothèque tout aussi pourrie au rayon « si tu n’as pas de vie et que tu meurs d’ennui : lis-moi ».
    Silencieuse, elle s’était finalement approchée pour se glisser dans le lit de sa sœur contre laquelle elle s’était collée. Une main avait serré la sienne, sans un mot... il n'y en avait pas besoin ou il n'y en avait pas... rester avec Jules, c'était tout ce qu'elle voulait.




III. DRAW ME A SHEEP


    « Chocolat cookies ou chocolat caramel ? Me regarde pas comme ça, tu dois faire un choix. Je sais qu’à l’heure actuelle, tu t’en moques, mais ce sera autre chose dans une dizaine d’années quand James, le quaterback, aura décidé de te préférer Stacy qui s’est entraînée à se déshabiller plus vite qu’elle ne fait ses lacets. Bien sûr, ça ira mieux quand tata aura empêché à James le quaterback d’avoir une descendance, mais tu passeras par la phase glace et film débile comme tout le monde. Une sorte de tradition ! Alors laisse-moi le répéter encore une fois : Chocolat avec morceaux de cookies ou chocolat et sa sauce caramel ? » « Aga ? » « Toi ma grande, tu vas avoir un sacré problème de communication plus tard ! ». Pour toute réponse, la jeune Leah avait frappé la barre de sa poussette avec sa peluche. Hum… au moins, elle avait une manière « très Moriarty » de s’exprimer, comment ne pas être fière ? Ou plutôt complètement gaga ? Oui, c’était bien Billie Moriarty qui venait de débattre de glaces et d’avenir avec sa jeune nièce encore incapable de marcher ou d’aligner trois mots. Et c’était encore elle qui lui avait ébouriffé affectueusement les cheveux avant de reporter son attention sur le pot de glace qui tomberait sur ses hanches au cours de la soirée.
    Si on lui avait prédit plusieurs années en arrière qu’elle s’occuperait un jour d’une petite tête aussi adorable, elle ne l’aurait pas cru. Parce qu’elle lui rappelait son aînée ou tout simplement parce qu’elle était encore plus adorable que n’importe quelle mini princesse disney, cette tante là était incapable de ne pas virer débile à certains moments. Un jour, il faudrait qu’elle présente l’addition de ses neurones cramés à Jules. Après tout, c’était de sa faute si elle avait fait une fille aussi adorable.

    Un beau jour, Jules avait fait ses valises pour Minneapolis en lui laissant pour compagnie sa fille. Elle aurait pu lui en vouloir, faire un caprice pour qu’elle reste mais dix minutes plus tôt, c’était bien après un coup de fil avec sa sœur aînée qu’elle avait reposé le téléphone dans un sourire. Ça n’avait rien changé à leur relation. Elles étaient toujours aussi proches. Il lui manquait peut être un gêne pour être capable de faire un jour des reproches à sa grande sœur, son héros de toujours, mais quelle importance ? La seule question qui lui retournait parfois le cerveau, c’était de prendre son courage à deux mains ou pas pour rejoindre Jules. Elle en avait été incapable. Minneapolis…. Sa place était ici, à Los Angeles, malgré les mauvais souvenirs… les bons s’y trouvaient ici, ceux d’une époque qui n’existerait plus selon un ancien abruti de psy dont nous tairons le nom car il est sans doute encore plus mauvais que Voldemort en personne.
    « Mais c’est Moriarty ! Je pensais qu’on te voyait plus parce que t’avais trouvé ta place sur le trottoir mais en fait tu fais dans les couches ! Ahahahahah. Air blasé sur le visage, Billie s’était retournée vers celle qui était probablement responsable de toutes les mauvaises plaisanteries sur les blondes. Actuellement, Barbie devait se trouver sur les bancs de la faculté où la brune devrait également être. Probablement occupée à se vernir les ongles pendant les cours et à trouver un riche partie, elle n’avait pas assez de temps pour soigner ses répliques. Quoique, celle-ci était bien meilleure par rapport aux dernières. Bonne ou pas, elle avait déclenché l’hilarité de sa troupe dont le QI ne dépassait pas le sien « Je t’emmerde. », simple, court, efficace mais précis. « Tu m’emmerdes ? Billie Moriarty m’emmerde ? « Sérieusement, t’en es encore à ce niveau là d’anglais à la fac ? On en apprend plus sur le trottoir. Tu veux que je te l’épèle ou tu vas arriver à l’assimiler ? », offusquée par la vulgarité ou choquée qu’on puisse lui parler de cette manière, Barbie avait ouvert la bouche à plusieurs reprises comme un poisson qui manque d’air hors de son bocal. Clairement fière de son effet, Billie avait fait un pas dans la direction de Barbie et de son girls band pour porter le coup final mais elle avait été coupée dans son élan par un bras passé autour de son épaule et un « Dites, vous saviez que le frelon peut désigner jusqu’à 22 espèces ! » Soupir d’un côté devant le plaisir gâché, sourcil levé de l’autre avant une réplique moqueuse qui devançait des talons tournés qui avaient pris la direction de la sortie de cette petite supérette.
    « Sérieusement ? », Asher Dawkins, son meilleur ami depuis presque toujours… ils s’étaient potentiellement vus en couche à plusieurs reprises, des inséparables comme on pouvait les nommer dans le jargon amical. Son acolyte venait tout juste de revenir d’un voyage d’un an à l’étranger, il lui avait manqué, c’était un fait… mais sa façon de se la jouer super héros même pour la population débile du coin, ça lui avait toujours échappé… à moins qu’il ne veuille lui épargner la prison.
    « En fait, non… c’est wikipédia qui le dit mais si ça se trouve, on en compte plus ! Quoi ? T’es contrariée parce que je viens de t’épargner le costume orange ? Si ça peut te consoler, niveau venin, t’es vachement plus menaçante qu’un frelon. J’ai pris des bières, t’as choisis la glace ? », levant les deux pots devant le regard de son ami, elle l’avait laissé désigner ce qu’il choisirait obligatoirement : les deux pots. « Et dans le registre : sérieusement ? Cette gamine, elle est à qui ? Non parce que je veux bien croire que tu m’as fais un bébé dans le dos en un an, j’ai toujours su que tu n’attendrais pas le mariage, mais la dernière fois tu sortais avec ce Ja-machin truc… peut être Jared, cette caricature de sportif qui n’avait pas encore compris que dvd s’écrivait exactement pareil à l’envers. Et savoir que t’aides la race des primates à se développer, ça me fend le cœur. »
    Pilotant la poussette jusqu’à la caisse, Billie semblait choisir le silence pour toute réponse. Elle pouvait bien laisser Asher s’imaginer les pires histoires… une bien maigre vengeance pour l’avoir coupé dans son crime contre la débilité.
    « Hum… je prends ton silence pour un : Occupe toi de tes affaires Ash’. Mais vu ta classe naturelle ce soir, ça doit donner un : va te faire foutre. Mon cœur est si meurtrie. En guise de consolation, je m’en vois obligé de choisir le film pour célébrer nos retrouvailles honey. Star Wars : l’intégrale !».
    Un peu fort, certes, elle avait posé les deux pots de glace sur le comptoir avant de conclure un débat qui ne commencerait même pas « Tu ne feras pas de cette petite une geek. Elle aura une vie sociale, ne mettra jamais un pied sur wikipédia, ne demandera pas un sabre laser à Noël et elle se mariera avec un chirurgien. » ou un avocat, plutôt cool aussi.
    Jules lui avait confié sa fille et sa fille ne saluerait jamais en faisant un salut Star Trek !




IV. KNOCK KNOCK, IT'S THE BIG BAD WOLF


    « Je ne suis pas suicidaire ! », dans un bruit sourd, Billie avait reposé sa bouteille de bière sur la table d’un bar quelconque de Los Angeles. Pour la troisième fois, en cinq minutes, tout au plus, elle prononçait les mêmes mots dans le même ordre. Face à elle, ce qu’on pouvait nommer un inconnu qui semblait s’amuser d’une certaine situation. « Tu te promènes au beau milieu de la nuit dans une rue peu réputée pour sa fréquentation, et tu te dis non suicidaire ? Je ne te parle même pas de te tenue et encore moins du fait que tu sois montée sur la moto d’un parfait inconnu qui pourrait tout aussi bien être un dangereux psychopathe ! » . Ok, il marquait peut être un point. Mais le dangereux psychopathe en question qui buvait un verre en sa compagnie était aussi le héros du soir. Après tout, s’il n’était pas passé par là, la photo de la brune aurait peut être fait la une des journaux le lendemain. Elle avait beau lui avoir dit sur le coup qu’elle se débrouillait très bien toute seule, il n’était pas certain que dire à 3 types louches que, vu leurs gueules de merde, il n’y avait aucune chance pour qu’elle passe du temps avec eux, voir qu’ils aient une descendance un jour, soit digne d'un comportement très prudent. Et ce n’était qu'une réplique parmi tant d’autres !
    Du Billie tout craché ! L’art de la provocation était un don qu’elle employait à une fréquence bien trop élevée selon les gens qui se souciaient un minimum d’elle.
    Bref, le Superman en face d’elle était arrivé sur son grand destrier blanc, lire ici sa moto, et s’était montré plus efficace que la provocation. Et si elle se trouvait là, maintenant, à boire un verre avec un presque parfait inconnu, il y avait une excellente excuse qu’elle n’avait pas manqué de donner après une nouvelle gorgée de bière « Tu m’as offert un verre ! ». Et c’était une excellente raison pour suivre un parfait inconnu ? Hum… « Ta moto est plutôt cool. »… on pouvait toujours mieux faire « Bon… tu m’as filé un coup de main aussi, même si je m’en sortais très bien tout seule ! Mais, principalement, tu m’as offert un verre. En général, les alcooliques sont juste alcooliques. Ils soutiennent le bar tels des piliers. Sans compter que je connais ton prénom, ce qui fait de toi autre chose qu’un inconnu. ».
    Très classe. L’abandon de l’adolescence ne lui faisait pas perdre sa répartie, répartie dont elle semblait fière vu le léger sourire qui avait animé ses lèvres quelques secondes plus tard « Mais ne crois pas que je n’ai pas remarqué ton petit jeu. On ne couchera pas ensemble pour autant ! T’es pas du tout mon genre.».
    A bien y regarder, il n’était pourtant pas trop mal, c’est vrai. Mais personne n’avait dit que le mensonge était interdit dans ce genre de conversations.

    C’était la première fois qu’elle avait rencontré Alex. Aujourd’hui encore, elle ne saurait pas réellement dire ce qui lui avait plu en premier. Son attitude de grand conquérant si sûr de lui ou peut être ce côté qui faisait, qu’au fond d’elle, elle aurait dû savoir que la meilleure chose à faire était de partir en courant. Inconsciente, elle l’avait toujours été. Attirée par des choses, par des actions, qui ne pouvaient que lui attirer des ennuis, elle s’était presque laissée aller dans cette relation. Pour la première fois, mise à part Jules, elle avait laissé tomber un peu ses barrières. Trop selon elle, peut être pas assez pour Alex. Froide, elle l’avait toujours été. Incapable d’exprimer ses sentiments, incapable de réaliser la mort de sa mère ou de faire son deuil, elle n’avait jamais été la pro des émotions. Et ceci, même si elle était du genre à démarrer au quart de tour, même si elle était directe.
    Si elle l’avait aimé ? Ils avaient connu une relation passionnée pendant laquelle elle avait fermé les yeux sur certaines choses, en reprochant d’autres à voix basse parce qu’elle s’était attachée à quelqu’un pour la première fois dans une histoire de ce genre.
    Dès le premier soir, elle avait vu que c’était probablement un homme dangereux. Il n’était pas de ceux à se rendre à la messe ? Elle non plus. Il était de ceux à finir derrière les barreaux ? Peut être qu’elle avait envie de s’en moquer sur le moment. Et aujourd’hui, cette histoire appartenait au chapitre « regrets » de sa vie.




V. GUESS WHO'S HERE ?


    « Ça te dis un road trip avec ta tante ? »
    C’était la manière dont elle avait présenté les choses à sa nièce en lui promettant une surprise à la fin du voyage.
    Au beau milieu de la nuit, elle avait rassemblé des affaires, les jetant dans une valise ouverte dans la caricature parfaite de la fuyarde. Penser à ce qu’il fallait prendre pour un si long voyage, préparer ce qu’il faudrait ensuite, ce genre de choses… elle ne s’en était pas laissée le temps. Sans réfléchir, elle avait rassemblé ce qu’elle pouvait pour le jeter dans le coffre de sa voiture qui lui reprocherait bientôt les kilomètres qu’elle aurait à faire jusqu’à Minneapolis.
    Doucement, elle avait tiré Leah de son lit et avait répondu à son étonnement par la perspective d’un voyage « fun » avec tata. De la musique, des jeux de route, quelques arrêts dans des motels en bord de route qui ne figuraient peut être pas dans le guide du voyageur et toujours un sourire enjoué quand sa nièce la fixait… voilà comment c’était passé le voyage.
    Extérieurement, elle ressemblait à une Billie surexcitée par l’aventure. Intérieurement, elle tremblait comme une feuille depuis ce soir là. Elle avait pris la bonne décision, elle le savait. Fièrement, sa grande sœur et elle disaient souvent qu’un Moriarty ne connaissait pas la peur. Il ne fuyait sans doute pas non plus… elles s’étaient trompées.

    Le visage d’Alex, elle avait finit par le découvrir. Son côté sombre n’était pas que pour le style. Et elle était parvenue à accomplir l’exploit débile de s’attacher à ce type. Dealeur, pas qu’à ses heures perdues, mais également consommateur, il n’avait rien du petit ami parfait. Qu’est-ce qu’elle avait cru ? Qu’elle l’emmènerait sur la voix de la sagesse comme le nain vert d’une grande saga pour les geeks ? Elle avait été aveugle tout simplement. Stupide et aveugle. Elle s’était laissée entraîner, et pour quelle raison ? Parce qu’elle y tenait sans doute. Ou parce que quelque part, elle s’était imaginée qu’il la faisait se sentir mieux.
    Grande nouvelle Billie, c’était définitivement pire.
    Quand elle avait compris que cette histoire la tirerait vers le fond, il était déjà trop tard. Et si elle avait su qu’en plus d’être débile, elle était du genre faible et influençable tout compte fait, elle ne lui aurait même pas adressé la parole le premier soir où elle l’avait vu.
    Elle en avait pris de cette saloperie. Elle venait de le quitter après un dernier ultimatum… et elle retombait dans ses bras après quelques heures et quelques verres pour aider ?
    « Allez Billie, ce sera notre dernier soir ensemble. On peut bien fêter ça non ? ».
    Bêtement, elle s’était laissée avoir une dernière fois par ce regard. Pour se donner bonne conscience, elle dirait peut être que l’alcool n’avait pas aidé… mais elle manquait juste de neurones. Quelques heures plus tard, elle s’était réveillée et des effets plus agréables avaient laissé place à l’angoisse.
    Elle avait voulu partir, une main appuyée contre son cœur dont le rythme s’affolait. Il s’était réveillé. Violemment, ils s’étaient disputés. Sa lèvre enflée ajoutait tout un paragraphe à la thèse qu’Alex appartenait à une certaine catégorie d’hommes qui excluait tout petit ami à présenter fièrement à la famille. Elle avait répliqué, il avait doublement répliqué et elle ne savait plus exactement comment elle en était venue à regarder le sang qui coulait sur sa tempe, les restes d’une lampe dans la main.
    Elle ne se voyait pas déjà un costume orange sur le dos, il n’était pas mort, Alex était du genre coriace mais elle en avait profité pour prendre la fuite comme si rester la ferait vivre derrière des barreaux.

    Et maintenant elle se retrouvait là. Au volant de sa voiture, empruntant l’une des nombreuses rues d’une ville dans laquelle elle ne s’imaginait pas mettre les pieds un jour. Minneapolis… cette ville qui lui avait un jour volé sa mère.
    Ce qu’elle allait dire à Jules quand elle lui ouvrirait la porte, elle avait eu tout le trajet pour y penser et pourtant elle n’avait aucune réplique de prête.
    Dans ce qu’elle voulait, il n’y avait pas de place pour une longue conversation apportant quelques explications. Un café, un lit pour dormir plus de 24 heures, ce genre de choses… mais surtout l’étreinte d’une grande sœur. Ce geste qui, si facilement, l’avait toujours fait se sentir en sécurité.
    Alors, une Leah endormie dans ses bras, la tête posée sur son épaule, elle avait tout simplement frappé à la porte aux premières lueurs de l’aube.


Dernière édition par Billie Moriarty le Mar 6 Aoû - 10:32, édité 25 fois
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billie ~ reality is not easy to run from Vide
MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 13:23

la mini moriarty. billie ~ reality is not easy to run from 3827665424 c't'un excellent choix, obviously. billie ~ reality is not easy to run from 337664734
bienvenue en tous cas, bon courage pour ta fiche. billie ~ reality is not easy to run from 2680782864 I love you
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Allison Sterling
Allison Sterling

LITTLE WOLFand it haunts me every time i close my eyes.


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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 13:41

billie ~ reality is not easy to run from 4000200428 billie ~ reality is not easy to run from 2680782864 I love you billie ~ reality is not easy to run from 3032721937 billie ~ reality is not easy to run from 3894180136 billie ~ reality is not easy to run from 3484979881 JE SUIS TELLEMENT HEUREUSE. billie ~ reality is not easy to run from 2680782864 tu tombes à pic comme tu le sais. billie ~ reality is not easy to run from 337664734 Phoebe est trop belle, ma billie est parfaite et je t'aime. :ks:BIENVENUE OFFICIELLEMENT. billie ~ reality is not easy to run from 73120010 I love you encore une fois n'hésites pas en cas de questions. I love you j'ai hâte de lire ta fiche Baby sister. billie ~ reality is not easy to run from 2680782864 (désolée je suis sur mon téléphone mais je te ferais une pluie de smiley à mon retour billie ~ reality is not easy to run from 3484979881)
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 13:47

BIENVENUE billie ~ reality is not easy to run from 2965971428 bon choix de scéna *-* et bon courage pour la fiche également
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 15:57

Quel charmant minois What a Face
Bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche !
J'aime beaucoup le deuxième prénom I love you
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Erik Darrington
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 16:16

La Billie billie ~ reality is not easy to run from 3827665424 billie ~ reality is not easy to run from 3827665424 Je ne sais pas qui est ce mystérieux Panzani mais je lui dis merci billie ~ reality is not easy to run from 3484979881

Il va sans dire que tu fais un excellent choix de scénario billie ~ reality is not easy to run from 1510611536 Je te mpotterai sous peu pour notre lien coquin billie ~ reality is not easy to run from 3484979881

Bienvenue par ici & bonne chance pour la suite de ta fiche ! I love you
En cas de questions, hésites pas à nous faire signe ! billie ~ reality is not easy to run from 73120010
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 17:27

Excellent choix de scénario ! billie ~ reality is not easy to run from 2680782864 
Bienvenue par ici, et bon courage pour ta fiche. billie ~ reality is not easy to run from 3139145243 I love you
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 17:30

Bienvenu parmi nous ! Très bon choix de scénario I love you
Bon courage pour ta fiche billie ~ reality is not easy to run from 3827665424
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 18:48

Soren : Merci jeune Zorro (ouais parce que dans le monde moderne, Zorro c'est sûr qu'il a un sweat à capuche !), j'étais obligée de céder, la responsable du pv appartient au genre tentatrice pour sûr !

billie ~ reality is not easy to run from 1757720966 Jules billie ~ reality is not easy to run from 1757720966 : J'anticipe donc et me lance dans une danse de la pluie è.é. Merci big sister, lumière de ma vie, soleil étoilée de mes nuits, chandelle allumée de mon ami Pierrot, ma pyramide de Gizeh de mon Egypte, ma cerise sur mon gâteau, ma frite dans mes potatoes à Mc Donald billie ~ reality is not easy to run from 2965971428 ...billie ~ reality is not easy to run from 1757720966 billie ~ reality is not easy to run from 2566646226  et j'en passe ! On l'aura compris, Billie aimer Jules comme Tarzan aime Jane (la fin de semaine, ça a toujours son petit effet) ! J'ai bien hâte de te sauter dessus en rp mais n'hésiterait pas à te harceler avant ça si le besoin s'en fait sentir au cours de ma fiche, car, il est bien connu, tout Moriarty se doit d'être chiant avant même de savoir marcher !

Rafael : Merci <3. C'est que j'ai bon goût ! Au moins autant que toi rien que pour Amber <3

Vincenzo : La fan d'Hawaii qui est en moi va se retenir le temps de te remercier pour l'accueil <3. Alex si rarement joué et pourtant jamais égalé billie ~ reality is not easy to run from 1757720966 
Merci pour le prénom, j'avais hésité avec Goldorak mais il paraît que ça fait plus garçon et surtout pas très prénom réaliste =/

Seth, roi du Royaume de Nottingham jusqu'à ce que Leah gouverne : Alors rendons gloire à Alessandro !
Oui je le veux, tout lien est accepté d'avance étant donné qu'on est de la même famille comestible à en juger par nos pseudos (aaah la vie n'est pas toujours faciles pour les biscuits:couette:  !)
Merci à toi en tout cas <3

Teddy Bear (ouais j'aime vivre dangereusement à en croire le choix d'un surnom pour un tueur à gages =.=. Mais ma grande soeur fait super vachement peur !) : Merci à toi <3. Et je plussoie, je ne pouvais pas passer à côté de ce pv inspirant qui donne envie de rp dans les champs (je sais normalement c'est courir, mais rp dans les bureaux ça fait moins bucolique =/)

Wyatt : Merci fireman ! Et puisque tu termines cet accueil chaleureux, je jure de n'acheter qu'à toi le calendrier des pompiers cette année !billie ~ reality is not easy to run from 1757720966
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 18:51

La sœur de Jules billie ~ reality is not easy to run from 2680782864  Excellent choix de scénario billie ~ reality is not easy to run from 73120010 
Bienvenue parmi nous I love you
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyVen 26 Juil - 22:59

Enfin une célébrité que je connais, même si c'est pas d'un grand film billie ~ reality is not easy to run from 1881463262
Bienvenue ! Il manquait une Billie sur le forum billie ~ reality is not easy to run from 3827665424 bon courage pour ta fiche et amuse-toi bien une fois validée ! billie ~ reality is not easy to run from 702243357
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyJeu 1 Aoû - 16:55

Merci sweet et cute June <3
Je ferai de mon mieux pour être une bonne Moriarty !

Yeah, nous sommes sauvés, Daryl est là *o* **out**
Merci homme à l'arbalète, c'est un grand honneur que vous me faîtes. Si jamais les zombies attaquent, je sonne chez toi !**double out**

Je pense finir ma fiche dans le week-end : boulot + famille à la maison = machination contre les geeks è.é.
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyJeu 1 Aoû - 20:29


Le clan s'agrandit! I love you Excellent choix de personnage! Pis, Phoebe est juste... billie ~ reality is not easy to run from 4205929361 billie ~ reality is not easy to run from 3032721937 billie ~ reality is not easy to run from 2176505670 billie ~ reality is not easy to run from 2176505670 billie ~ reality is not easy to run from 2176505670 
Bonne chance pour la fin de ta fiche! Et bienvenue dans la famille! billie ~ reality is not easy to run from 855648211 
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyMar 6 Aoû - 13:45

La domination du Monde est le destin des Moriarty billie ~ reality is not easy to run from 3263540273 
Merci pretty Charlie <3. La fan de PLL en moi te fera des muffins.
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Camilla Roseburry
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MessageSujet: Re: billie ~ reality is not easy to run from   billie ~ reality is not easy to run from EmptyMar 6 Aoû - 13:58

J'avais dévoré ton histoire tu le sais et c'est totalement parfait. billie ~ reality is not easy to run from 173236763 billie ~ reality is not easy to run from 173236763 J'ai rien à redire. Je voyais ma Billie comme ça. Tu réussis à la faire ressortir son côté fille drôle qui veut masquer ses faiblesses, j'adore comment tu as impliqué leah dans l'histoire. Bon le mec de billie enfin ex mec risque de se prendre des balles dans les couilles mais osef. billie ~ reality is not easy to run from 2380307632 Je viens de lire les tics/manies, c'est également génial. I love you I love you JE TE VALIDE BB MORIARTY. billie ~ reality is not easy to run from 2680782864 billie ~ reality is not easy to run from 4000200428 n'oublies pas de recenser l'avatar, de faire les demandes diverses, de voter pour le forum également si le coeur t'en dis ! et surtout have fun. I love you billie ~ reality is not easy to run from 73120010
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